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Comment bâtir une great place to work

Faisant partie des leaders mondiaux dans la gestion administrative RH ainsi que la gestion des effectifs, UKG aide ses clients à anticiper et à s’adapter aux besoins de leurs collaborateurs dans un monde en constante mutation.

Dune économie qui voit s’agiter chaque jour un peu plus la possibilité d’une récession, la

qualité des services RH constitue un élément toujours plus crucial de la vie des entreprises. À chaque problème sa solution : UKG, née d’une fusion en 2020 entre plusieurs grands acteurs du secteur, et qui compte quelque 15 000 salariés à travers le monde, fournit des logiciels permettant aux entreprises de créer des environnements de travail plus modernes, plus productifs et plus harmonieux. Accompagnant des organisations de toutes tailles et de tous secteurs, l’éditeur propose à ses clients d’anticiper et de s’adapter aux besoins de leurs collaborateurs au-delà du simple cadre du travail.


Parmi les solutions proposées, People Operations est une suite de produits qui aide les clients à créer des lieux où il fait bon travailler, « les fameuses Great Place to Work ». UKG est parti d’un constat simple : il existe une sorte de clivage entre la fonction Ressources humaines, chargée de gérer efficacement les collaborateurs, et les fonctions Opérations, chargée de la gestion au quotidien des équipes. La fonction RH aligne ses politiques avec la stratégie de l’entreprise : qui dois-je recruter, pour quelles compétences et quelles formations ?


Mais alors qu’on constate depuis un bon moment déjà une ligne cohérente entre les ressources humaines et la stratégie élaborée par la direction générale, un problème est visible au niveau de l’alignement horizontal, entre les RH et les opérationnels. Ils peuvent en effet poursuivre les mêmes objectifs commerciaux tout en mettant en place des pratiques complètement à l’opposé. Mais dans la difficile période économique qui s’annonce, les entreprises doivent trouver le moyen d’avoir un alignement à la fois vertical et horizontal afin de prendre des décisions éclairées pour continuer à attirer les compétences dont elles ont besoin, fidéliser les collaborateurs, favoriser l’engagement, améliorer la productivité et donc les performances.


« Cette entente nécessaire, pouvant s’avérer difficile à trouver, on s’est demandé comment UKG pouvait accompagner les entreprises sur ces problématiques, explique Richard Bates, Lead Product Manager chez UKG. Avec People Operations, nous proposons une gamme de solutions qui aide les RH mais aussi les fonctions opérationnelles, à travers la simplification et l’automatisation des processus de gestion administrative RH (HR Service Delivery), ainsi que de gestion des effectifs, des temps et des absences (Workforce Management). Nous avons estimé que le meilleur moyen pour que ces deux fonctions communiquent mieux est qu’elles parlent le même langage et qu’elles utilisent le même outil. Les managers peuvent assurer le suivi des temps et des effectifs facilement pour s’assurer d’avoir toujours la bonne personne au bon endroit et au bon moment. Les RH, eux, peuvent traiter les problématiques RH au sein du même outil que la gestion du planning . Cela fluidifie la communication entre les équipes et fait disparaître les barrières. »


Upgrader l’expérience collaborateur

Une des grandes forces de People Opérations réside dans cette capacité à améliorer l’expérience collaborateur des professionnels RH, celle des managers, mais également celle des autres salariés. « Les collaborateurs ont la possibilité de trouver en toute autonomie dans l’outil qu’ils utilisent au quotidien pour badger ou vérifier leur planning, des réponses à leurs questions relatives aux avantages sociaux, aux horaires, aux politiques et procédures internes, etc. Ils n’ont pas besoin de solliciter ni leur service RH, ni leurs managers. Ils gagnent aussi en flexibilité. Par exemple, si un collaborateur a besoin de s’absenter, il peut demander via l’outil à échanger son shift, et ce directement sur son Smartphone. Ses collègues qui ont les mêmes compétences et qualifications sont notifiés et peuvent demander à effectuer ces heures. En permettant une communication plus harmonieuse entre les parties, les solutions de UKG génèrent une meilleure expérience collaborateur à l’échelle de l’entreprise. Aujourd’hui, à la lumière des faibles taux d’engagement et des difficultés pour les RH à arriver à cibler tous les publics de l’organisation, il est intéressant d’avoir une solution qui permet d’upgrader cette expérience collaborateur »


Le rachat de l’entreprise Great Place to Work s’inscrit dans cette démarche. En acquérant une énorme base de données permettant de savoir pourquoi une entreprise travaille plus efficacement qu’une autre, UKG peut s’appuyer sur ces informations pour améliorer ses produits et mieux conseiller ses clients. « Avec ce rachat, UKG veut apporter cette expertise à l’ensemble de ses clients, souligne Richard Bates. En interne, nous appliquons ce que nous proposons aux entreprises : une ambiance de travail la plus harmonieuse possible. Cela permet de maintenir la motivation et l’engagement des salariés. Depuis des années, la France est en bas des classements des taux d’engagement (6 % selon le rapport Gallup, NDLR). Mais il faut dépasser ce constat pour se demander comment faire pour avoir un taux d’engagement plus important ? »


Mettre des mots sur les nouvelles tendances

Par ailleurs, un des points forts de UKG est de communiquer sur les phases de la vie du collaborateur dans l’entreprise. On pense souvent à l’onboarding… mais en oubliant parfois le reonboarding, ce processus qui consiste à réintégrer un collaborateur suite à une longue absence comme un congé parental ou un arrêt maladie. Le reonboarding peut toutefois s’appliquer également dans le cadre de mobilités internes, mais aussi de « collaborateurs boomerangs », ces salariés ayant quitté l’entreprise et qui quelques mois ou années plus tard reviennent. « S’il faut aider le collaborateur à s’intégrer dans l’entreprise, il faut également soigner sa sortie, pour qu’il ait envie de revenir. L’offboarding est un aspect parfois négligé, et on ne parle pas de l’organisation d’un pot de départ. Mais bien du processus : comment valoriser la contribution du collaborateur qui s’en va ? Comment maintenir la relation ? En France, particulièrement, le salarié boomerang est un phénomène nouveau qui reste rare. Mais il y a une prise de conscience, notamment dans un contexte de pénurie de talents. Un salarié qui revient a gagné en expérience, a acquis probablement de nouvelles compétences… C’est d’autant plus une option à envisager qu’il connaît déjà la culture de l’entreprise. Mais depuis son départ les processus ou les produits ont peut-être changé, évolué. Il est essentiel de lui proposer un reonboarding pour qu’il soit au fait des nouveautés. Retenons surtout que les collaborateurs sont bien les plus grandes richesses des entreprises, et qu’il convient d’en prendre soin ».


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