Puissance des plantes, prévenir et accompagner les premiers troubles cardiométaboliques

L’explosion des maladies cardio-métaboliques, alimentée par les modes de vie modernes, impose un tournant décisif en matière de prévention et de prise en charge. Valbiotis s’affirme ainsi comme un pionnier en développant des solutions naturelles, scientifiquement validées, pour répondre à ces défis de santé publique.

Informations Entreprise : Comment les progrès en diagnostic et l’évolution des comportements des patients transforment-ils la prévention des maladies cardio- métaboliques ?

Sébastien Peltier (CEO, co-fondateur Valbiotis®, PhD, HDR) : L’évolution des maladies cardio-métaboliques s’explique par un ensemble de facteurs. D’une part, nous constatons une augmentation de leur prévalence liée aux modes de vie modernes. En parallèle, les progrès en diagnostic, notamment en biologie clinique, permettent de mieux cibler les marqueurs des maladies métaboliques du foie et des pathologies associées. Par exemple, des outils non invasifs comme l’échographie rendent le diagnostic de la stéatose hépatique plus accessible, bien qu’il reste encore plus complexe que des mesures courantes comme la glycémie ou le cholestérol LDL.

Par ailleurs, de nombreux pays prennent conscience de l’importance d’identifier les patients à risque. L’objectif est d’agir sur les facteurs modifiables pour prévenir ou retarder l’apparition des pathologies, ce qui constitue un enjeu de santé publique mais également financier.

Enfin, l’implication grandissante des patients eux-mêmes, grâce à un accès élargi à l’information, marque une évolution significative dans la prise en charge des risques cardio-métaboliques.

I.E : Comment les plantes, grâce à leur composition naturelle complexe, peuvent-elles jouer un rôle complémentaire dans le traitement des pathologies cardio-métaboliques ?

Sébastien Peltier : Il est important de ne pas opposer plantes et médicaments synthétiques, car ces approches sont complémentaires. La phytothérapie, ou l’utilisation des plantes, apporte une richesse unique. Beaucoup de médicaments actuels sont d’ailleurs issus de substances actives extraites des plantes, une évolution qui s’inscrit dans l’histoire de la médecine. Si les molécules synthétiques visent généralement une ou plusieurs cibles spécifiques dans l’organisme, les plantes, grâce à leur composition complexe, permettent une action plus globale.

Chaque extrait végétal contient plusieurs molécules actives qui peuvent agir en synergie, une approche précieuse pour des pathologies complexes comme le diabète ou les maladies cardio-métaboliques. L’exemple du diabète de type 2 illustre ce point : il nécessite souvent une combinaison de traitements, pour une prise en charge optimale. De la même manière, un extrait de plante peut apporter simultanément plusieurs molécules actives, offrant une réponse globale aux besoins d’un organisme affecté par des pathologies multi-systémiques.

I.E : Quels sont les principaux éléments qui différencient les produits Valbiotis ?

Sébastien Peltier : Notre singularité réside tout d’abord dans notre ancrage scientifique : chaque produit est soutenu par des années de recherche, avec des études cliniques rigoureuses démontrant leur sécurité et leur efficacité sur les populations cibles. Ces travaux ont été validés par des pairs, présentés lors des plus grands congrès internationaux et publiés dans des revues scientifiques de renom. Cette validation par la communauté scientifique est une différenciation essentielle.

Le second point est notre exigence en matière de qualité. Du choix des plantes à la fabrication du produit fini, nous suivons des standards extrêmement rigoureux. Cette attention à chaque étape garantit non seulement l’efficacité, mais également une qualité irréprochable. Ces deux singularités nous permettent de proposer des produits fiables et innovants dans le domaine de la prévention des maladies cardio-métaboliques. Nous disposons également de 3 familles de brevets déposés depuis 2014.

I.E : Comment Valbiotis s’assure-t-elle de l’engagement des professionnels de santé et du grand public dans l’utilisation de ses produits ?

Sébastien Peltier : Nous plaçons les professionnels de santé au coeur de notre stratégie de conseil et de promotion de nos produits. Nous disposons d’une équipe de 16 attachés à la promotion médicale qui collaborent étroitement avec les médecins et les officines. L’objectif est que les médecins, grâce à des outils comme le Vidal et Claude Bernard où nos produits sont référencés, puissent conseiller des solutions adaptées à leurs patients, notamment pour des pathologies comme l’hypercholestérolémie. Du côté des officines, nous soutenons deux rôles essentiels : honorer les prescriptions médicales et permettre aux pharmaciens, acteurs clés de la prévention, d’identifier et de conseiller directement les patients à risque.

Pour cela, nous investissons massivement dans la formation des professionnels de santé : médecins, pharmaciens, diététiciens, etc. Cette formation leur fournit les données cliniques, épidémiologiques et le contexte nécessaire pour intégrer nos produits dans un parcours de santé global. Enfin, nous développons des contenus validés et pédagogiques pour sensibiliser le grand public, en répondant à leur recherche d’information via des canaux digitaux. Cette approche complète renforce notre mission de prévention et de santé durable, qui associe compléments alimentaires, hygiène de vie, et accompagnement personnalisé.

I.E : Comment la labellisation LUCIE 26000 et vos engagements RSE renforcent- ils la mission de Valbiotis auprès des professionnels de santé et du grand public ?

Sébastien Peltier : Valbiotis s’engage activement dans une démarche de responsabilité sociétale des entreprises (RSE), reconnue par le label LUCIE 26000 depuis juin. Notre démarche repose notamment sur quatre piliers fondamentaux : le respect des droits des personnes et des conditions de travail responsables, la réduction de l’impact environnemental, le développement de l’éthique dans les relations d’affaires, et le soutien au développement local et à l’intérêt général. Par exemple, nous privilégions des packagings durables, des circuits courts pour nos plantes, et une information claire et transparente envers les professionnels de santé et les consommateurs.

Nous sommes également membres de la communauté du Coq Vert, lancée par BPI France en 2023, et participons activement au dynamisme territorial grâce à des collaborations avec des institutions académiques comme l’université de Clermont-Auvergne et l’université de La Rochelle. Ces partenariats renforcent notre mission pour l’intérêt général, notamment dans la recherche, l’éducation et les enjeux environnementaux.

I.E : Quels sont les objectifs de Valbiotis avec ses nouveaux produits et ses collaborations académiques ?

Sébastien Peltier : Valbiotis poursuit son développement avec une stratégie axée sur l’innovation, la prévention et la prise en charge des premiers troubles des maladies cardio-métaboliques. Cette année, nous avons lancé notre premier produit, le Valbiotis Pro Cholestérol, dédié à la réduction du LDL cholestérol. En février prochain, nous introduirons le Valbiotis Pro Santé Métabolique, ciblant le pré-diabète, le diabète de type 2 à un stade précoce, et le syndrome métabolique.

D’ici la fin de l’année prochaine, nous lancerons également Totum 854 dans la gamme Valbiotis Pro, destiné aux patients souffrant d’hypertension artérielle légère à modérée. Nous travaillons également sur Totum 448, un produit destiné aux personnes atteintes de stéatose hépatique, en collaboration avec l’université Laval au Canada.

En parallèle, nous développons la gamme Valbiotis Plus, qui propose des compléments alimentaires axés sur la prévention, la santé et le bien-être pour un maintien en bonne santé, comme des Oméga 3 ou bien le stress, le sommeil ou encore la vitalité. Enfin, avec nos laboratoires communs (LabCom), labellisés par l’Agence nationale de la recherche, en partenariat avec les universités Clermont-Auvergne et La Rochelle, nous préparons les solutions de demain, consolidant notre lien avec l’environnement académique.